Un CERTAIN"exhibitionnisme" ( si l'on ose l'appeler ainsi) sur les réseaux sociaux ( publication de photos, d'activités, d'événements, d'expériences, ....personels ou familiaux ou professionnels, etc.), déclenche, automatiquement, un CERTAIN type de voyeurisme ;
Abstraction faite du caratère utilitaire ou positif de ces publications ( qui sont pourtant excessives et dont l'entendement serait difficllement perceptible), les voyeurs, qui peuvent être banals ou malveillants, développent des penchants psychoculturels et psychosociaux qui pourraient verser dans le comportement « maladif » ou dans les « troubles identitaires ». L’observation des réactions de ces voyeurs, à partir de certaines publications ou certains commentaires, peuvent être classés selon des tendances générales ou spécifiques ; il y a le voyeur universel et il y a les voyeurs « catégoriels » : ceux du corps, ceux du décor, ceux de la posture, ceux de l’habit, ceux de l’expression, etc. « L’interface » de l’exhibitionnisme et du voyeurisme, ne peut que raviver les projections, les complexes, les refoulements, les tensions, etc.
Faudrait donc peut-être, pour garder aux publications leur caractère utilitaire et fonctionnel, cribler ce qui est publiable au grand public de ce qui ne l’est pas !
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