Le manque et la privation, aussi bien matériels que psychiques, devraient fonder une vision et une philosophie qui provoqueraient, pour compensation ou pour dépassement, la maturité, la créativité, l’autonomie, la prise d’initiative, la résilience, etc. Ils ne doivent pas, selon une conception défaitiste ou outrancièrement justificative, entrainer le repli, l’agressivité, le sentiment de victimisation, le rejet, etc.
Dans tous les cas, ils ne doivent pas être instrumentalisés pour JUSTIFIER des comportements agressifs, des incivilités, des manquements à l’engagement, des conduites irrespectueuses et responsables, etc. Autrement, un encadrement ( familial, scolaire, socioculturel, médiatqiue, etc.) vigilant, une bienveillance bien calculée ( qui ne doit pas pour autant se transformer en obséquiosité ou en relâchement sentimental ou relationnel), un suivi discipliné et rigoureux, etc. peuvent faire du manque ou de la privation des opportunités fondatrices et génératrices du « Bien ».
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